(La dernière mission, Calmann-Lévy), cette question a préoccupé les pudiques ingénieurs de la NASA. Des positions amoureuses, sélectionnées après simulation sur ordinateur, auraient été testées en 1996 à bord d’une navette spatiale américaine, d’après un document cité par Pierre Kohler dans un chapitre de son livre consacré à la dernière mission de la station russe Mir. Astronome de formation devenu journaliste scientifique, Pierre Kohler suit depuis longtemps particulièrement les sujets liés à l’espace. Les astronautes lui ont fait de nombreuses confidences, sauf sur un thème tabou d’outre-Atlantique à l’Oural : le sexe en orbite. Toutes les agences spatiales sont pudiques sur cette question. Aux Etats-Unis, les demandes d’entretien sur le sexe sont systématiquement rejetées et les principaux intéressés répondent par un sourire ambigu. A en croire un document référencé «NASA n° 12-571-3570», cité par Pierre Kohler, une expérience confidentielle d’accouplement sans équivoque aurait bien été menée, après simulation informatique, lors de l’un des quatre vols de navette réalisés en 1996 avec des présences féminines à bord. Sans doute en prévision de futurs séjours de longue durée, il s’agissait de déterminer les meilleures positions pour des ébats en microgravité. Sur les dix modes testés, six auraient fait appel à une ceinture et un tunnel gonflable destinés à maintenir les partenaires serrés l’un contre l’autre, alors que dans les quatre positions restantes, le couple devait s’en remettre à sa seule force musculaire.
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